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Roman inachevé "Livre de Vampire"

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Roman inachevé "Livre de Vampire" Empty Roman inachevé "Livre de Vampire"

Message par dypedina Jeu 14 Juin 2012 - 22:12

Bonsoir a tous,

J'ai commencé a écrire ce livre par une folle nuit d'été, je n'ai pas su le terminé mais j'espère qu'il vous plaira. et selon les critiques, je posterai la suite.
Bien a vous.
Et merci aux futurs lecteurs potentiels.

Chapitre
1


Maël














































[font=Arial, sans-serif]Comment
peut-elle aimer la vie a ce point là, même après sa propre mort ou
sa nouvelle vie; comme elle disait.



[size=12]Je
m'appelle Maël, je suis figé dans mes vingt-six ans; depuis bien
trop longtemps, j'ai vu mourir les miens; peste, tétanos.



Je
suis mort dans la nuit du 13 au 14 juillet 1789. Les émeutiers, on
prit la Bastille, et ils ont libéré les prisonniers, touts les
prisonniers.



Enfin,
ce n'est pas de mon histoire dont je vais vous parler, mais plutôt
une part de la sienne.





Je
suis un excellent traqueur, j'aime de variés les plaisirs, toutes
les couleurs de peaux, non pas le même goût; le noir a un goût
assez, comment dire "prononcé", le blanc fade, le juste
milieu est le métisse, le créole est assez bon. C'est comme pour
vous, chaque aliment a une saveur différente.


Je
n'aime pas de manger 2 jours la même chose, donc aujourd'hui, un
petit hispanique, mmh! Ce petit
goût relevé, un vrai délice
.


Je
ne chasse que les bandits, les petites frappes. Leur peur de se faire
pincer par la justice les rends encore plus excitant; de leurs pores
suintent leur monter d'adrénaline. J'aime bien leurs raisonnements.
" Bande d'idiots!".










Ça
fait 2 jours que j'épie ce môme; Antonio, une vraie racaille, il a
tout juste 19 ans, il doit faire 1 mètre 65, vendeur de drogues, vol
de voiture, agression, et j'en passe certainement.





Tout
ce que j'aime, il s'engouffra dans cette petite ruelle, il venait de
conclure une affaire avec un petit jeune; un mineur en plus. attends!
ceci est ton dernier deal
.

Je
me tapi dans l'ombre, je mesurai l'espace entre lui et moi. Un quart
de seconde, tout au plus, me suffit pour faire face à ma proie






-
Yo mec!, me dit il, tu sors d'où?



Je
m'avançais vers lui, un grondement sourd sortait de ma poitrine.


-
T'as vu un chien dans les parages, s'alarma il


-
Non, grondais je


Je
n'étais plus qu'à un mètre.


-
Oh putain, c'est toi!? son sang ne fit qu'un tour.









-
2 -















Je
l'empoignais et plantais mes yeux dans les siens; d'un seul regard,
je peux agir sur l'état mental des gens, sur les êtres pourvu de
réflexion.Il
se calma, et je l'éreinta.



Une
porte claqua a moins d'un mètre de moi, j'avoue que pour une fois,
j'avais été imprudent, la ruelle où je me trouvais était rempli
de porte de secours.




-
Antonio!!! A plat ventre! Police!! Avait crié une voix féminine.





Elle
était seule. Qu'elle idiote!



Je
lâcha le corps sans vie du gamin, l'instant d'après je fut derrière
elle. Je bloqua la porte et la toisa, appétissante...





Elle
était assez mignonne sous son képi, ses cheveux châtains longs
étaient repris en chignon, sans maquillage, juste son uniforme bleu
nuit.



Elle
me fit face et me mit en joue.




-
Lever les mains! me somma elle.




La
peur se lisait sur son visage, elle se rendit compte qu'elle était
dans cette ruelle, seule avec moi.



J'obtempérerai,
elle se rapprocha de moi et entrepris de me fouiller, tout en me
braquant.


Un
sourire me monta aux lèvres.





-
Qu'as-tu à rire? s'insurgea elle


-
Rien. dis je en la toisant



















-
3 -


















C'est
alors qu'elle voulu m'entraver le poignet gauche, je la fis pivoter
sur elle-même et la désarma.


Je
lui colla la main sur la gorge et la plaqua contre la porte. son
visage prit une drôle de sérénité. comme si elle savait et
qu'elle acceptait se qui allait suivre.



Je
ne sais pas comment elle lu su mais avant que je ne la contrôle,
elle me dit:






-
Non, murmura elle, pas maintenant.


-
Quoi?, pas maintenant! fis-je étonné


-
Je ne suis pas prête.


-
A quoi?, grondais-je


-
A mourir, chuchota elle










C'est
alors que sa flagrance me sauta au nez, quel
fumet
... lilas, miel, et ...de la morphine. Elle était
malade, très malade.



Je
fut pétrifié, en un bon, je me retrouva perché sur le toit d'un
magasin chinois, hors de sa vue. Un bruit de métal éclata et son
escouade s'engouffra dans la ruelle.Pourquoi,
ne l'avais-je pas tuer, j'aurai pu, j'aurai dû.



Je
sautais de toit en toit, et je descendis dans une autre ruelle de la
grande ville. Je me mis en marche et me mêlais à la foule de
Manhattan square, il était presque 19
heures, la nuit était tombé depuis plus d'une heure.




Les
gens me toisaient d'un œil soit étonner ou mauvais, les hommes
surtout, les femmes rougissaient au moindre de mes regards. Il faut
dire que, je ne suis pas mal dans mon genre; 1 mètre 87, un corps
musclé, de grands yeux bleus, cheveux blond cendré mi-longs, le
teint pâle. J'étais habillé d'un jeans et d'un pull a col roulé
marron clair.


















-
4 -
















Dés
que la foule fut moins dense, je bifurquais dans une allée et me
retrouvais dans les ruelles sombres et désertes. Je
ne mis que 3 minutes pour faire les 15 kilomètres qui me séparait
du centre ville pour rejoindre mon hôtel assez luxurieux d'ailleurs,
un peu trop même.



Mais
bon; je le devais à l'un de mes frères, Dimitri. Celui-ci, était
de la famille des tsars de Russie dans le XIIIème siècle. La seule
chose que j'ai à reproché a Dimitri, c'est son goût du luxe et sa
décadence. Mais bon, Dimitri sera toujours Dimitri.




De
plus cet état de non-mort, je lui devait. Ce la faisait 15 ans qu'il
était dans les douves de la Bastille, oublier de tous.




J'entrais
dans le hall de l'hôtel, le concierge; un homme de 45 ans, les
tempes grisonnantes, était a la réception.






-
Bonsoir Paul, le saluais je.


-
Bonsoir Mr Bastien.


-
Mes frères sont-ils là?







Il
vérifia dans son registre.




-
Ils sont sortis, mais Mr Dimitri vient de rentré. affirma il.


-
Merci, pas de message?


-
Non, Mr Bastien, répondit il, autre chose Monsieur?


-
Non, merci Paul, bonne soirée.


-
Bonne soirée Mr Bastien.






J'appelai
l'ascenseur; j'aurais pu sauter jusqu'au balcon de ma suite mais il
valait mieux qu'on passe pour d'honnêtes et gentilshommes que pour
des créatures mythiques tels que nous.


Dès
que les portes s'ouvrirent, j'entrai dans l'ascenseur et enfonçai le
bouton du 3ème étage.













-
5 -






Pour
vu que Dimitri ne me lise pas; il avait la faculté de lire dans les
pensés. Oh non, alors!
Qu'allait-il dire que j'aurai dû la tuer? Je
la savais ça.
Pourvu qu'il soit dans ces livres de sciences




-
3ème étage. La voix était toujours si réconfortante.




Malgré
ça, je déteste les ascenseurs. Foutu
cage à poule.
Ça me rappelle la proie de la semaine
dernière; il était resté bloquer pendant 2 heures et demi dans la
boite, il était tellement ivre, qu'il n'avait même pas dé saouler
avant de battre sa femme et de ressortir. Et là, j'ai commencé
cette petite traque facile, 10 minutes, pas plus. mmh
un italien.






J'ouvris
la porte, ben voyons! Il
était dans mon fauteuil, avec son verre d'O négatif; son dernier
crû à la main, comme il aimait l'appeler. Dimitri aime de jouer au
mortel, son élégante garde-robe, ses parfums, ses bijoux. Il faut
avouer qu'avec son corps parfaitement sculpté à la Van Damme et ses
cheveux blond clair coupé court, Dimitri avait fière allure, on lui
aurait donné 30 ans et c'est l'âge qu'il se donnait car à l'époque
de sa naissance, on ne se servait que très rarement des dates.





-
Tu rentres bien tôt, me dit il en me saluant.


-
En effet, je suis las de la chasse pour ce soir.


-
Étonnant, me répondit il en levant les yeux de son livre.


-
Qu'y a t il d'étonnant à ça? m'insurgeais je


-
Rien sauf que d'habitude, tu es bien plus tard.


-
Ça te pose un problème, cher Dimitri, dis je narquois


-
En aucun cas, c'est juste une constatation, se défendit il


-
Bien. Cinglai je





Je
fis demi-tour, tout en espérant que cette diversion le
déstabiliserait assez pour m'esquiver.




-
Mon frère? appela il




Je
levais les yeux au ciel et fis un grimace.














-
6 -














-
Oui? Que veux tu?




Il
s'était replongé dans sa lecture et releva de nouveaux ses yeux
verts avec un soupçon de malice mal placer.




-
Pourquoi!? me demanda il


-
Quoi pour pourquoi?





Je
savais très bien de quoi il parlait, il m'avait lu, j'avais ça en
sainte horreur.




-
Maël ne prend pas pour un idiot, pour quoi est elle toujours en vie,
elle t'a vu! M'accusa il


-
Elle m'a troublé, et d'ailleurs en quoi ça te regarde? le fusillais
je




La
porte d'entrée s'ouvrit et Tristan entra, vêtu d'une chemise à
carreaux, d'un vieux jeans et d'une pair de bouts.






-
Voilà le frère prodigue, dis je en le charriant, je me dirigeais
les bras tendus vers lui.


- Alors mon frère, me dit il en me tapotant dans le dos, tu te
chamaille encore avec Mr le duc, ricana il


-
J'ai entendu, crapule, rigola Dimitri en se dirigeant vers nous





Ils
se donnèrent l'accolade.






-
Ton frère essaye de la jouer le paternaliste, lui rétorquai je.


-
Encore, s'esclaffa Tristan en se tournant vers Dimitri.


-
Figures toi que Mr Maël ici présent, dit il en me jetant son menton
dans ma direction, je levais encore les yeux au ciel, oh
il y a des taches au plafond.
N'a pas respecter la 1 ère des
règles.


-
Quoi donc il a écraser un chat. il parti de son rire tonitruant.














-
7 -















- Crétin, dit Dimitri en lui collant une taloche derrière la tête,
mais que vais je faire de vous, l'un se prend pour un justicier en
laissant un témoin et l'autre, s'amuse à David Crocket et bouffe
des animaux.


-
Tout le monde, ne peut pas être le grand Dimitri, sans peurs et sans
reproches, l'accusais je, le parfait vampire.




J'étais
dans une rage contrôlé mais je tremblais néanmoins.




-
Mais réponds moi, dis moi pourquoi, alors. s'insurgeait Dimitri.


-
Pourquoi quoi? demandait Tristan.




Tristan
essayait de me calmer, mais plus il essayait et plus je m'agaçais
des questions de Dimitri.




-
Je ne sais pas, je veux l'étudier, lui lançais je au visage.
"Étudier" était le mot magique pour mon frère ainé.


-
Ok, me dit il, mais prend ton frère avec toi.


-
merci, papa. le narguais je










Cette
nuit là, je fis mes recherches sur internet. Je n'avais aucune idée
de son identité. Vu qu'elle était agent de police, je piratais
l'unité central du dit réseau, quand enfin, je trouvais le registre
des agents, Tristan se pencha sur moi.




-
Alors Maël, l'as tu trouvé ta mystérieuse femme flic, il riait.


-
2 minutes, il faut que je craque le système et dévie le modem.


-
Ouais ouais!!! me dit il saoulé par mes éternels explications.


-
Vas y, s'agaçait Tristan, active!


-
Du calme, petit, on a toute la nuit.


-
T'es lent, papy, me narguait il.






Je
stressais à l'idée de la trouver, pourquoi avait il fallut qu'elle
vienne juste au moment le plus inopportun, pourquoi l'avais je
écouté, pour qu'elle raison m'étais sauvé, et pourquoi ce moment
d'angoisse ou d'excitation, était ce l'idée de chasse ou de la
curiosité, malsaine en tout cas, ça je le sentais.











-
8 -














Avais
je raison de m'intéresser à cette femme? Tristan toussotait




-
Allo la terre? Ici la lune. Me taquina il.


-
Ouais désolé. lui dis je.


-
Bon, allons y. M'encourageais je.




Je
me repassais ses traits , je les rentrais dans la base de données;
femme, blanche type caucasien, 25 - 30 ans, +/- 1 mètre 60, +/- 50
kilos, cheveux châtains long, yeux verts. Il me sorti 5 photos
portraits.






-
Voyons voir celle qui a troublé ce vieux machin. Me taquinait
Tristan.






Je
parcourrais les photos, au bout de la 3ème, je la vis et lui, mon
frère, Tristan, se raidir. Je lui fit face.




-
Qui y a t il? Lui dis je.




Un
quart de secondes plus tard, il avait repris son attitude désinvolte.




-
Rien, pourquoi? feinta il


-
Je t'ai vu, Tristan, quand la photo de cette... femme est apparue à
l'écran.




Il
nia de la tête.




-
Allons, Tristan, je vis depuis assez longtemps avec toi, pour savoir
qu'il se passe quelque chose. il fronça les sourcils.


-
Tu te trompes.


-
Je n'en suis pas si sur, tu préfères que se soit Dimitri qui le
lise?


-
Non, murmura il, c'est compliqué,...., je ne sais pas quoi en
penser. Répondit il.


-
Je t'écoute.



    Je le
    fixait avec effarement, il avait un air extrêmement grave;










-
9 -
















-
Il y a 2 semaines, j'étais dans l'ouest de Central Park, tu sais que
j'aime de voir ces proies, les loups, j'aime leur charisme animal, la
fascination et la crainte qu'ils inspirent aux hommes, même ici
derrière ce mur.






Je
m'étais assis dans le fauteuil de la chambre et je le regardais
faire les cent pas.




-
J'étais dans le feuillage d'un arbre, je ne chassais pas, j'épiais
les sons du parc qui se réveillait. J'ai attendu une brindille se
briser, un joggeur, je n'y fit pas attention. Son odeur me vrilla les
narines, je m'apprêtais a partir.




Il
ferma les yeux et pris une profonde inspiration.




-
Un bruit sourd résonna et je tourna la tête, je sais que je n'aurai
pas dû, elle était tomber, instinctivement, je me retrouvais a coté
d'elle en essayant de la relever, elle pleurait, - "
Voulez-vous que je vous conduise à l'hôpital, madame?" lui
demandais je, elle se relevait , l'air penaud, - - "Non
merci, Monsieur" me renvoya elle au visage, ses yeux me
transperça, A ce moment-là , j'aurai aimé être vivant;




Son
regard était d'une tristesse à faire peur, mais il enchaina.




-
Tu sais Maël, depuis ma transformation, je n'ai jamais pleuré sur
ma non-mort, j'aime être celui que je suis.




C'était
une métaphore car nous ne pleurons jamais, nous en sommes incapable.




-
Sa détresse était si forte que voulais tu que je fasse.


-
"Qu'avez vous? Madame" lui demandais je, on était près
d'un banc et je la soutenais pour l'aider à s'assoir.


-
"Rien, Monsieur je vous remercie de votre aide" me dit elle


-
Alors, t'es parti. fit je à Tristan.





Il
fronçai un sourcil et fis un rictus, toute fois, il continua son
histoire













-10
-










-
Non, me dit il.


-
" Veuillez m'excuser d'insister, mais je voie bien que ça ne va
pas, Madame, permettez moi de vous aider." Je n'aurais pas su
faire autrement, il fallait que je l'aide, elle me regarda avec
étonnement, et pas, avec une once de peur, ce qui est étonnant, tu
sais bien leur réaction.




Il
parlait des humains.




-
" Je ne veux pas vous ennuyez avec mes problèmes, Mons..."
je la coupais en lui disant " Tristan, s'il vous plait,
Madame... Madame?" son regard était surpris de mon
intervention, subtile qui plus est.


-
" Léa, Léa Danely" me dit elle.




Son
regard était loin, il était avec elle dans le parc, 15 jours plus
tôt; passionné. C'était mauvais. Dimitri n'allait pas aimer ça.
il me regardait suspicieux mais il continua;




-
Elle rougissait, " Je vous en prie, racontez les moi, Léa"



-
J'attendis et me pencha vers elle, son odeur s'engouffra dans les
narines, je me redressait, vif et assoiffé.




Il
sera les poings et retroussa les lèvres. Il me sidérai, jamais je
ne l'avais vu se malheureux.




-
Elle ne me regardait pas et je réussis à me maîtriser. Pourquoi
Maël, comment ça se fait que son odeur m'a affolé? J'ai eu envie
de la prendre, de boire son sang, Maël. Tu te entends Maël, son
sang. Du sang humain.




Il
état totalement écœuré a l'idée de boire du sang humain, il ne
voulait tuer, il trouve notre manière de nous nourrir; à Dimitri
et à moi, aberrante et totalement dégoutante, le fait de tuer un
être humain, le révulsait au plus au point.





Ses
yeux perdirent leur arrogance. Il murmurait à présent, si bas qu'un
humain n'aurait rien entendu; Par chance Dimitri était sorti, il
n'avait rien entendu de notre conversation, ce qui était
certainement mieux ainsi.















-
11 -










-
J'attendais qu'elle me répond.


-
" Pas aujourd'hui, je dois rentrée, ils vont se réveiller."


-
Quelle torture, je souffrais à l'idée de la voir partir. "
Demain matin, alors?", pourquoi avais je dit ça? Que m'était
il passer par la tête?


-
"Oui, si ça vous intéresse toujours?" Elle me demandait
ça si intensément, sans relever ses yeux.


-
Je ne sus que répondre " Je vous attendrais ici, Léa", je
lui tendis la main, heureusement qu'elle avait des gants. Elle se
remit se leva et son regard se planta dans le mien.


-
Si tu savais Maël, j'aurais aimé de l'embrasser mais aurais je pus
résisté a l'appel de son sang? Par prudence, je fis un pas en
arrière.


-
" Au revoir, Tristan" me murmura elle, inconsciente de
l'effet de sa voix sur moi.


-
" A demain, Léa", je ne sais pas ce qui m'a pris mais ma
main effleura son visage. J'ai senti sa surprise, et sa peau avoir la
chair de poule sous ma main.




Il
réouvrit les yeux, on aurait dit que quand il me narrait cet
instant, son cœur rebattait dans sa poitrine. Quelles
étranges expressions!
Son visage, à par sa blancheur, était
euphorique, soudain une grande souffrance lui barrait le visage, ses
yeux exprimaient une telle souffrance, que j'en fus affecté.






Comment
un non-mort peut il exprimer une telle détresse pour une humaine,
aussi charmante et déroutante que soit Léa.

Je
m'aperçus qu'il me fixait patiemment, et qu'il attendait une
réaction de ma part; J'étais curieux et il le savait.




-
Et? lui fis je, Le lendemain que s'est il passé?





Un
sourire lui fendit les lèvres, il sut que j'étais de son coté.




-
Et, le lendemain un peu en avance, elle arriva, J'étais là, adosser
à l'arbre...


-
Tu ne peux pas t'en empêcher? il me lança une mine interrogé. De
frimer. Dis je.


Il
rigolait, c'est étonnant de voir que quand il parle d'elle, son
visage s'éclaire, ses traits s'adoucissent.














-
12 -














-
Je sais. fit il et il enchaina. Elle se rapprocha de moi.


-
"J'avais peur que vous ne soyez pas là, Tristan...", "
Oh, excusez moi", me dit elle, je fronçais les sourcils.


-
" Pour quelle raison?"


-
" J'ai oublié de vous dire bonjour, alors voilà... bonjour",
j'éclatai de rire de voir son expression.


-
"Bonjour, Léa, bien dormi?", Elle rougis, je ne compris
pas son expression.


-
" Excusez moi, Tristan, pour ce que je vous ai infligé hier
matin, ça me ressemble si peu". Je ne compris pas son désarrois
et elle le vit;


-
" Pour cette crise de larmes." Dit elle gênée.


-
" Sans elle, je ne vous aurais pas rencontré". Elle rougis
de plus bel et moi j'avoue que à part me passer une main dans les
cheveux... Je crois que si j'aurais pu, j'aurais rougis. Je
toussotais.


-
" Veuillez m'excuser Léa, mais j'avoue que vous m'avez
intrigué."


-
" Je ne suis pas venue pour vous ennuyé avec mes petits
problèmes."


-
" Mais non, Léa, vous ne m'ennuyez pas, je vous en prie,
racontez moi." Elle réfléchis et fit la moue.


-
" C'est comme si vous parliez a un psy sans les honoraires et
sans la cravate" ricanais je, en la dirigeant.


-
" Je vous en prie, madame, installez vous sur mon divan",
Elle s'esclaffa, nous nous assîmes, sur ce banc de la veille.


-
" Je ne sais pas par où commencer."


-
" Par le début, j'ai tout mon temps", ce n'est pas peu
dire, elle me fit un sourire pincé, je lui rendis le sien avec une
figure de regret, qu'elle comprit d'ailleurs, enfin je crois.


-
"J'ai fait des études, pour rentrer a l'académie de police, et
j'y ai rencontré Ethan Soyer. Au bout de 2 ans, il m'épousait; on
s'adorait, 2 mois après notre mariage, j'appris que j'étais
enceinte, s'était l'apogée de notre amour."


-
Je fus choqué, aurais je mal compris hier, son état d'esprit, rien
sur mon mon visage n'exprimait ma frustration.



-
" On l'a appelé Jordan, tout ce passait bien. On a été muté
a Washington, je n'aimais pas la vie là-bas. On a demandé après 1
ans, une nouvelle mutation à Manhattan, on était plus près de chez
mon père? Elle s'interrompit " Vous êtes sur que je ne vous
ennuie pas avec mon histoire?"














-
13 -










-
J'avais cru qu'elle n'avait rien remarquer.


-
" Bien sûr que votre histoire m'intéresse"; Fis je
faussement indigner qu'elle aie pu penser ça de ma personne.


-
"Veuillez m'excuser, mais j'ai comme qui dirait un 6ème sens."
S'empourpra elle.


-
" Ah oui?" me moquai je.


-
" Oui!" Dit elle vexée du ton de ma réponse. Je la
regardais avec un air de chien battu, ses lèvres pincés s'étirent
timidement.


-
" Dites m'en plus, Léa, sur ce 6ème sens." Lui priais je.


-
" Comment dire..., je ne sais pas... Je n'aurais pas dû vous en
parler" s'esquiva elle, " Ce n'était une bonne idée...,
je dois partir." S'angoissa elle et elle se leva, je la suivi du
regard, complètement abasourdi.


-
" Au revoir, Monsieur" m'assena elle.


-
Si j'aurais été vivant mon cœur aurait cessé de battre, je la
fixais s'éloigner, Ahuri de cette sensation nouvelle.



-
" Léa, attendez s'il vous plait, je ne comprend pas.",
Elle s'arrêta, elle se retourna et me fit face, elle était sidérée
visiblement de la rapidité qu'il m'avait fallu pour être derrière
elle. Elle jugea la distance entre
le bac et nous, un petite vingtaine de mètre, tout au plus.


-
Je compris son effarement; quel idiot, un humain n'aurait su se
déplacer à cette vitesse, vu que 30 seconde plus tôt, elle s'était
retourné furtivement, elle avait été stupéfier de mon effroi et
de mon aspect rigide. Des larmes coulaient le long de son visage. Son
regard me transperça, ses yeux étaient...


-
Je ne sais pas Maël, je ne saurais pas t'expliquer, je ne connais
pas cette expression. Il secoua la tête dépité et il enchaina.


-
Je ne sais pas ce qui m'a pris , je pris son visage dans mes mais, je
plongeais mon regard dans le sien, mes lèvres déposèrent un
baiser long et tendre sur ses lèvres délicates.




Jamais
Tristan, n'aurait été imprudent, je le fixais en recherchant un
détail qui m'éclaircirait, et c'est alors que je vis ses yeux, je
n'aurais jamais cru voir cet éclat chez n'importe quels vampires.




-
Je ne voulais pas ça a été plus fort que moi, que son odeur.


-
" Ne partez pas, Léa." Je reculais d'un pas et je fermais
les yeux pour oublier sa flagrance, le désir de sang.














-
14 -














-
Quand je réussi à me ressaisir, je réouvrir les yeux. Elle passait
un doigt sur ses lèvres, elle rougissait.


-
" Tristan, je..."


-
" Veuillez m'excuser, Léa, je n'aurais pas du."


-
" Ne vous excusez pas, Tristan, s'il vous plait." Elle fit
un pas vers moi et pausa sa tête sur ma poitrine.



-
Aucun humain n'avait poser sa tête sur mon torse depuis 70 ans, le
dernier fut ma mère. Je humais l'odeur de ses cheveux, devant ma
raideur, elle recula et me regarda.


-
" Je suis désolé, je dois partir."


-
" Mais Tristan..."


-
" Je ne suis pas celui que vous croyez, je n'aurais pas du."
Elle fut effaré par ces paroles, mais son regard avait changé, il
reflétait l'espoir.


-
" Je ne vous importunerait plus." Sa respiration se fut
plus rapide son cœur s'accélérait fans sa poitrine et j'entendis
son sang. Elle ferma les yeux. Je me suis enfoui, et depuis je ne
suis plus retourné au parc.




Il
se tut. Le silence s'étirait en longueur, je pris la parole.




-
Tu ne l'as jamais revue? Il nia.


-
Même pas suivie?


-
Non, dit il en appuyant sur ce mot.


-
Je peux te poser une question? il acquiesça de la tête.


-
Tu l'aime?! Ma question était plus tôt une affirmation.


-
Je ne sais pas, ce que je ressens est si confus. Je ne sais pas, si
je la veux pour mienne ou pour l'étreint.


-
Je ne te suit pas, Tristan.


-
J'aime être en sa compagnie, si elle reste à une proximité, telle
que être assis sur un banc avec elle, j'ai envie de la toucher, de
la caresser mais dès que le contact se fait, j'ai envie de
l'étreindre, et tu sais que je ne me le pardonnerais pas d'avoir
tuer un humain.






















-
15 -










Il
était désespéré, ses épaules s'affaissèrent, il s'écroula sur
le sofa, sa tête se posa sur son bras. il souffrait.



Même
si nous sommes des créatures mystiques, nous sommes affectés par
des sentiments humains, beaucoup d'entre nous, croies qu'ils
disparaissent avec notre mort.



Je
ne sus dire si ce qu'il ressentait était de l'amour, vu que je n'ai
jamais ressenti ça en tant que vampire. En tant que humain oui, le
souvenir de mon amour humain n'avait plus de visage, j'avais oublié
ma femme. La seule chose qui me restait d'elle était la croix qui
était dans ma poche.




Comme
j'aurais aimé être touché par ce sentiment, je sais que ce que
j'allais lui dire allait être fatal pour lui. Je sais qu'on courrait
au péril si je lui réveillais ce que j'avais humer, mais l'amour
qu'il éprouvait pour cette femme ne se reproduirait peut-être
jamais malgré notre éternité. Je me posas devant lui, il était
statufié dans le sofa.




-
Tristan! il ne bougea pas.



-
Tristan! Rien.


-
Elle est malade, très malade. Il leva la tête.


-
Et comment le sais tu?


-
La morphine, je l'ai senti.


-
Comment ça tu l'as senti? S'énerva il.


-
Écoutes, j'étais sur les traces d'un petit hispanique, je l'ai
éreinté dans la ruelle, et elle m'a surpris.


-
Et?


-
Et bien, je l'ai désarmée, en douceur. Précisais je, histoire de
ne pas l'énerver d'avantage.


-
J'ai voulu, la contrôler mais elle m'a dit et je cite " Je ne
suis pas prête", et là..., je me suis enfui.


-
Bien! s'emporta il, moi et maintenant toi, qui ensuite, Dimitri!




Il
me toisait de son mètre nonante, et oui, j'étais le plus petit chez
moi, même Dimitri était le plus grand, la même taille que Tristan
à 1 ou 2 cm près.


















-
16 -










-
Oh, du calme! Je vais te dire ce que cette colère signifie et c'est
pour cela que je ne te tiens pas rigueur de la manière dont tu me
parles. Jeune freluquet,
avait je pensé.


-
Tu sais que je t'aime, Tristan, je t'aime comme un frère.





Sa
colère s'estompait et me réconfortait dans le jugement que je
mettais fait vis à vis de ses sentiments. Il avait l'air penaud mas
son regard était légèrement méprisant.




-
Tristan, je suis un traqueur et tu le sais, ce n'est rien qu'une
proie pour moi. Elle m'a sidérée par sa réponse. Et ce que tu
ressens en ce moment, c'est de la jalousie car mon cher Tristan, mon
frère, tu es amoureux!


-
Non, je ne crois pas Maël. me dit il mais je crus apercevoir en lui
et une révélation. Je ne sais pas. murmura il.






Son
visage n'exprimait rien, il était morne, son
souvenir, le fit gémir. Un léger silence s'installait. La porte de
l'entrée s'ouvrit et Dimitri entra dans le salon, par chance,
Tristan se ressaisit, juste avant que Dimitri ne scrute nos pensées.
Ça ne loupe jamais, malgré notre réticence. Il le fait à chaque
fois qu'il rentre, il est d'une curiosité maladive, enfin
maladive si il était humain
.




Dimitri
poussa les portes de la chambre, je m'étais rassis face à l'écran
et Tristan, qui s'était étendu sur le sofa feintait la
décontraction absolue. Dimitri nous lisait tour à tour, la façon
qu'il avait de nous lire était malsain, Il scrutait la
moindre pensée et nul ne pouvait résister à sa lecture.




-
Puis-je savoir? dit il, derechef on tournait la tête vers lui.


-
Tu le sais, à quoi bon te le dire? lui signifiais je.


-
Non, très cher, je ne lis que vos pensées et faut-il encore que
vous les pensées. Hors, je lis que vous avez eu une altercation,
j'aimerais savoir.


-
Pourquoi, s'exclama Tristan, en quoi ça te concerne?


-
Je suis l'ainé, et j'exige une réponse, vous êtes mes frères,
j'ai le droit de savoir.




Tristan
se leva, alla à la fenêtre et l'ouvrit, il s'assit dans
l'encadrement, il fit face à Dimitri.


















-
17 -










-
La femme flic, je la connais.


-
Donc, vous savez qui c'est, et bien, qu'attendez vous?


-
Non. Fîmes de concert. Dimitri fut choqué, stupéfait du ton et de
la réponse. Son visage serein vira à la colère.


-
Comment ça, non! Elle vous a vu tous les deux, et tous les deux,
vous la laisser vivante! Il grondait, je me levais et me dressait
devant lui.


-
Elle va bientôt mourir, laissons la tranquille. Il me toisa.


-
Et de quel droit? Ah parce qu'elle est malade! Il me parlait comme un
père gronde son enfant.


-
Et tu crois, enchaina il, que c'est une raison valable, pour la
laisser en vie? Aucun réponse ne vient relever sa question.


-
Tuez la! Ordonna il. Maintenant!




Tristan
se leva d'un bond et se mit en position d'attaque.




-
Non! Feula il.


-
Non? Dimitri lui fit face, choqué par ce refus, Jamais Tristan ne
lui avait parlé sur ton.




Contre
toute attente, Dimitri retourna dans le salon. Tristan se redressait
et me regardait interrogé. Je haussais les épaules. Je n'osais plus
lui poser de question. Je retournais à mon ordinateur, Tristan
s'allongea sur le lit pour méditer, et je ne sais pas pourquoi, je
notais l'adresse de Léa Danely sur un post-it.



Une
heure et demi s'était écoulé depuis la querelle entre Tristan et
Dimitri. Nous n'avions pas bougé d'un pouce; statues de marbre
parfaitement immobiles, seule le bruit des touches et les mouvements
de mes doigts trahissaient l'inactivité et le silence de la suite
315.




La
télévision venait de s'allumer, Dimitri la branchait parfois, quand
il était frustré et que quelque chose le gênait au plus au point.
Tristan tourna la tête en direction de la porte, par réflex plutôt
que par curiosité. Il détourna la tête et repris sa méditation.
Il respira profondément, je tourna la tête.






















-
18 -










-
Tu crois qu'il va laisser passer? me demanda Tristan.


-
Je ne sais pas, jamais Dimitri n'a remit les armes aussi facilement.




On
entendait la télévision que très légèrement.




-
" Une fusillade a eu lieu à l'est de Manhattan. Cinq policiers,
on été touché. L'agent Logan et l'agent Ramirez, ne sont que très
légèrement blessés, leurs vies ne sont plus en danger. Les trois
autres agents, on eut moins de chance, deux agents sont encore entre
la vie et la mort; Le sergent Luis de Lucas et l'agent Léa
Danely..."




Tristan
et moi avions bondis devant l'écran. La speakerine enchainait. Le
visage de Tristan était déchiré par la souffrance, nous le vire.
Je détourna la tête vers Dimitri qui le fixait suspicieux.




-
" ... Nous vous tiendrons informé de leurs états, et le
dernier agent Vanessa Larami, 21 ans, est décédée dans l'ambulance
qui la conduisait à l'hôpital de la Miséricorde de Manhattan...".




Dimitri
coupa le son de la télévision, Tristan se dirigeait vers la porte.




-
Tristan, attends, je dois te parler. Son ton me surpris. Tristan se
retourna.


-
Je n'ai pas le temps de discuter avec toi, Dimitri. Dit il anxieux de
partir;


-
Juste une minute, après va, où bon te semblera.





Tristan
fut surpris par le manque d'agressivité dans les paroles de Dimitri,
et moi aussi d'ailleurs, lui toujours si emporté quand on contrait
son autorité. Intrigué, Tristan revient sur ses pas. Dimitri croisa
les jambes, ferma les yeux, inspira, visiblement ce qu'il allait dire
lui coutait, et je ne sais pas pourquoi j'en fus choqué.



Dimitri
l'invita a s'assoir.




-
Je n'ai pas le temps, Dimitri.






















-
19 -










Le
visage de Dimitri s'adoucit presque suppliant. Jamais, je n'aurais
imaginé qu'il puisse avoir de telles expressions surtout venant d'un
personnage tel que lui.




-
Je t'en prie, Tristan, tu dois savoir.





Tristan
prit sur lui et s'exécuta, il s'assit dans le fauteuil que Dimitri
lui avait indiqué. Il fronça les sourcils et retroussa sa lèvre
supérieur en signe d'agacement. Dimitri le regardait fixement.




-
Tristan, je sais ce que tu ressens. Je suis tomber amoureux d'une
humaine, je me serais sacrifié pour elle, elle s'appelait Anya, elle
avait 33ans, ... Tristan l'interrompit.


-
Écoutes Dimitri, je n'ai pas le temps pour t'écou... Dimitri leva
la main.


-
Ce ne sera pas long, écoutes moi, c'est important pour prendre ta
décision. Tristan, le coupa de nouveau.


-
J'ai déjà pris ma décision. S'énerva Tristan. Dimitri inspira
bruyamment.


-
Non, tu ne sais pas ce que tu vas faire, et je peux le comprendre,
mais je te demande d'écouter! Tristan grimaça mais, toute fois, se
rassasia.


-
Bon, vas-y! soupira Tristan.


-
Je disais que, repris Dimitri, elle s'appelait Anya, elle avait 33
ans, c'était une paysanne, une petite centaine d'année avant ta
naissance Maël. Quand il disait; naissance, il parlait de ma
transmutation.


-
Comme tu sais, les u.v. , nous brulent la peau dû au manque de
globules rouges dans notre épiderme. Bien entendu a ce temps-là, je
l'ignorais, donc je sortais que la nuit tombé. Dans le temps les
paysans nous appelaient Erética. Je chassais sans vergogne aucune.
Cette nuit-là, je n'avais pas très faim, mais je traquais quand
même par jeu; la peur qui s'insinuaient dans leurs yeux, m'excitait.




Il
ferma les yeux comme pour savourer l'image de sa dulcinée mortel qui
voyait dans son esprit, je sentis sa tristesse.




-
Je la vis qui puisait de l'eau, je me rapprochait d'elle sans faire
le moindre bruit, pour lui faire une peur panique, je l'entendit
murmurée.


























-
20 -










-
" Je veux mourir." Je me rapprochait d'elle et lui susurra.


-
" Que ton vœu soit exaucer!" et elle se retourna et me
jugea.


-
" Un Erética, oui... fit elle, tuez moi." Je fut si
surpris que je lui dit


-
" Pas aujourd'hui, je reviendrais demain" et je pris mes
jambes à mon cou. Moi, renoncer à une mortelle...




Il
fit une pause pour nous regarder, nous étions pendus à ces lèvres,
nous étions abasourdi par sa litanie. Satisfait, il continua.




-
Le lendemain soir, j'y retournais et entreprit une conversation avec
elle. On allait se promener au alentour du village, presque touts les
soirs. Je tombais amoureux et s'était réciproque. Notre relation se
fit plus intense, on s'était embrassé, et quelques jours, plus
tard, on avait... Il s'arrêta, on aurait dit qu'il était gêné, le
grand Dimitri!




Il
se recala dans le fond de son fauteuil et son visage changea
d'expression; il devient grave, il murmurait.




-
On a fait l'amour, s'était la première fois que j'avais un rapport
sexuel avec une humaine, et ce fut la dernière. Quand nos baiser et
notre étreinte amoureuse fut fine, je remarque que son corps, était
rempli de bleu et je l'avais mordue, juste un petit coup, c'était
elle qui avait demander pour que j'intensifie notre étreinte, et je
l'avais écoute.




Il
s'était recroquevillé lui même, aussi bien Tristan que moi, nous
avons peur de se qui allait suivre. Il enchainait sans se rendre
compte de notre désarrois en vers lui.




-
Le lendemain, elle n'était pas venu au rendez-vous, et les jours
suivants non plus. Son visage devient tragique. Je pris le risque
d'aller chez elle, sa chambre était vide, je m'engouffra dans la
chambre de ses parents, vide aussi, et puis... il serrait les poings.


-
Je sentis que la maison était entrain de bruler, je sautais par la
fenêtre, une foule déchaîné criait devant la bâtisse en flamme.
Un garçon d'une dizaine d'année cria " là! l'Erética".
J'allais m'enfouir quand je l'entendit hurler.




-
" Dimitri, Dimitri..." Je me tournait vers son cris.






















-
21 -










Je
crois que si il aurait su, il aurait pleuré,Tristan et moi, étions
tellement désolé pour Dimitri, mais que pouvions nous faire?




-
Ils l'avaient mise sur un bûcher, et elle brulait, mon Anya brulait.
Sa voix se fit rage.


-
Alors, je massacrais le village tout entier, je ne laissa aucun
survivant. Et je me promis que plus jamais, ça ne m'arriverait de
m'éprendre d'une humaine.


-
Si J'aurais su, cette nuit-là quand je lui fit l'amour que je la
condamnerait, je m'en serrait faite une compagne. Sa voix était
pleine de reproches et d'amertumes en vers lui-même, que nous
restâmes sans voix pendant quelques minutes. Tristan se risqua une
question.


-
Viens tu de me donner la permission de faire de Léa, une d'entre
nous? Dimitri le regarda décontenancé par sa question, même moi,
j'en fut ébahi.


-
Non, je ne dis pas ça, Tristan, juste de réfléchir, que si tu ne
prends pas la bonne décision au bon moment, il sera trop tard, et
quoi que tu fasses, tu ne pourras faire machine arrière. Précisa
il.


-
Tu es amoureux d'elle autant que j'aimais Anya, je sais la place
qu'elle tient pour toi. Il ajouta.


-
Tu es mon frère et je ne veux pas que tu regrettes tes choix.





Soudain
son visage repris son arrogance. Tristan acquiesça, Dimitri lui fit
un signe de la main qui montrait sa lassitude retrouvé. Tristan
parti dans un souffle, la porte de la 315 claqua.





















































-
22 -









A vous de voir pour la suite, Et désolé pour la mise en page mais elle est différente sur open office, j'ai fait du copier-coller
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Message par dypedina Jeu 14 Juin 2012 - 22:23

Oh mon dieu, comme elle pue ma mise en page.
Désolé a tous, c'était pas comme ça a la prévisualisation. Roman inachevé "Livre de Vampire" 2862096530
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Roman inachevé "Livre de Vampire" Empty Re: Roman inachevé "Livre de Vampire"

Message par Yumi-Uchiwa Mar 3 Juil 2012 - 17:52

J'aime bien le début de l'histoire!!^^
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Message par Kurisu Mar 3 Juil 2012 - 22:42

Si j'ai un petit conseil à te faire, c'est de ne pas trop en mettre sur le net. Certains éditeurs fouinent le net de fond en comble pour savoir si "ton" texte a déjà été publié quelque part. Car, malheureusement, sur le net, rien ne prouve que c'est toi l'inventeur et le détenteur de "ce" texte. De plus, si "trop" de ton roman est retrouvé sur le net, c'est une sorte de pré-publication. Néanmoins, si tu veux un avis, mettre deux ou trois chapitres ne paie pas de mine ;) Si, en revanche, tu ne compte pas tenter la publication libre à toi de publier sur le net. Mets tout de même un message pour éviter (c'est un grand mot mais quand même) qu'on te vole ton travail. Car, si l'idée est bonne (je n'ai pas encore lu), tu risques de te le faire piquer...

Enfin, bref, une histoire de vampire, cool j'aime :)

Je lirais ton texte demain ou en journée, parce que là, il est trop tard xD
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Message par dypedina Mer 4 Juil 2012 - 15:18

bonjour,

j'ai un gros problème, j'ai certainement fait une erreur de manipulation sur mon pc, j'ai paumé le 2,3,4 chapitres de ce roman, je dois retrouvé la clé usb où j'ai sauvegardé ces chapitres. donc dés que je l'ai retrouvé, je posterai la suite.

ciao et sorry
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Message par tatou1000 Sam 23 Mar 2013 - 12:20

Je te felicite j'ai lu que 3 chapitres pour l'instant mais sa me donne envie de tous lire !
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